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Discu2Les résultats que nous avons obtenus avec notre première approche expérimentale (décrite dans la section pré laboratoire) n’ont pas été très concluants. Ainsi, nous nous attendions à ce que le graphique 1 affiche une tendance exponentielle. Comme on le remarque, une telle tendance n’est cependant pas observée. De nombreux facteurs permettent d’expliquer l’échec de notre démarche.
D’abord, dans l’élaboration théorique de notre démarche, nous avons considéré que la lumière des luminaires était directement projetée vers le ciel (c’est cela qui nous a permis de déterminer l’équation LE’ = LE × cλα). Dans la réalité, cette supposition est cependant fausse, car la lumière des luminaires de la ville est en majeure partie dirigée vers le sol puis réfléchie par l’asphalte et la végétation. Au cours de cette réflexion, la lumière de certaines longueurs d’onde est partiellement absorbée. Notre modèle ne tient donc plus la route et notre analyse est faussée.
Aussi, les spectres des lampes utilisés durant notre analyse ne sont peut-être pas représentatifs de l’ensemble des luminaires de la ville de SherbrookeCela laisse penser que la pollution lumineuse au zénith au Mont-Mégantic est dominée par Sherbrooke, ce qui n'est absolument pas le cas. Enlevez la référence à Sherbrooke.. Ainsi, les luminaires Afin de remédier à toutes ces causes d’erreur, nous avons rectifié notre démarche expérimentale. Ainsi, plutôt que de comparer nos spectres du ciel aux spectres des lampes, nous avons directement mesuré la luminance sur les spectres du ciel (on calcule l’aire sous la courbe spectrale puis on en soustrait la luminance naturelle). Cela a pour effet de réduire l’incertitude relative sur les mesures de luminance, puisque des pics plus hauts sont considérés dans le traitement des données.
Les premières mesures de pollution lumineuse obtenues avec le spectromètre SAND sont indiquées dans le tableau 2. On remarque que les valeurs ainsi obtenues présentent une assez grande Pour leur part, les données recueillies avec le radiomètre ont été obtenues en suivant exactement la démarche expliquée dans la section pré laboratoire Qu'est-ce que c'est que ça, la section prélaboratoire? du rapport. Les premières mesures que nous avons faites sont compilées dans le tableau 3. Les valeurs qui y sont indiquées représentent l’intensité moyenne des 50 pixels les plus sombres des images. La corrélation entre les données des filtres DS et IR est excellente, puisque quand la luminance mesurée avec un filtre augmente, la luminance mesurée avec l’autre augmente aussi (le coefficient de corrélation des données est de R = 0,94)Vous devez absolument présenter ce graphique.. Nos données recueillies avec le radiomètre sont donc parfaitement cohérentesEn quoi la corrélation des deux filtres indique que les mesures sont cohérentes, ça pourrait être interprèté à l'inverse.. On peut ainsi les comparer à nos mesures de la PL effectuées avec le spectromètre. Tel que suggéré dans la partie pré laboratoire ??? du rapport, nous déterminons une combinaison linéaire afin de corréler les données du spectromètre et les données de chaque filtre du radiomètre. En utilisant le programme Mathematica, nous avons pu minimiser le carré des écarts entre les mesures de PLSAND et les résultats de notre combinaison linéaire de filtres. On obtient ainsi l’équation PLSAND ≈ (2,68 • 10-9) IDS – (1,28 • 10-9) IIR. Le changement de signe est très encouragent car il semble dire que une différence entre toute la lumière et seulement la lumière naturelle sont corrélées à la pollution lumineuse. Comme il n'y a aucun calibrage photométrique sur cet instrument. On ne peut discuter qualitativement les coefficients obtenus mais c,est bon signe. La figure 10 illustre la corrélation entre les données du radiomètre et les données du spectromètre. Contrairement à nos attentes, la corrélation entre ces données est plutôt faible (R = 0,58). On peut expliquer cela de plusieurs manières. D’abord, il est possible que l’usage d’autres filtres sur le radiomètre (ex. : filtres Clear, H et Comet) ait permis d’avoir une meilleure corrélation linéaire. Cela nous permet de demeurer optimistes pour la suite du projet, puisqu’une analyse plus complète de nos résultats permettrait peut-être d’atteindre notre objectif, c’est-à-dire de quantifier la pollution lumineuse avec le radiomètre et le spectromètre.
Cependant, il est plus probable que, tel qu’insinué précédemment, nos valeurs de PL mesurées avec le spectromètre soient une fois de plus faussées Ah oui et pourquoi? Dites le ou abstenez vous de ce genre de commentaire gratuit.. Ainsi, la |